Coucou mes p’tites patates douces! Voici un court roman d’un auteur prolifique, ici nommé Kurt Steiner, mais qui en réalité s’appelait André Ruellan. Ce récit de pure science-fiction des années soixante nous parle d’un monde d’hyper-consommation, dans lequel des mutants apparaissent pour menacer la civilisation humaine, tout comme les mystérieux hommes-naturels d’ailleurs. Nous suivons Alberg le chasseur de mutant, mais d’autres personnages viennent agrémenter l’histoire, dont les fameux Enfants du titre, qui représentent un pouvoir politique majeur, avec des ludocrates pour les représenter.
Si le récit est d’un classicisme total, avec des revirements que l’on voit arriver à des kilomètres, les interactions entre les factions en présence m’avaient particulièrement marqué. Comme souvent pour la sf des sixties, les lignes sont floues, et on peut également dire que nous ne voyons que des ordures sans trop de moral. Les descriptions des enfants m’avaient troublées, leur pouvoir sur les différents mondes et la crainte ressentie par les adultes était vraiment bien retranscrite. Ce roman n’est pas un chef-d’œuvre, mais c’est l’un de ceux qui me marquèrent suffisamment pour approfondir certains traits de caractère pour mes propres personnages en jeu de rôles. Il se lis très vite et l’histoire en elle-même est oubliable, mais peut-être trouverez-vous comme moi un petit quelque chose de dérangeant dans les aventures d’Alberg…
Bon même si l’histoire est en soi oubliable, je ne l’élimine pas. Cela peut-être intéressant à découvrir.
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ça m’a l’air pas vraiment top.
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Le nom de l’auteur me dit quelque chose.
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Ouais, à moi aussi.
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