{Ambiances livresques} Slipknot/ La Compagnie noire

Coucou mes p’tites patates masquées! Second épisode de mes Ambiances livresques, après celle associant la musique électro-planante d’Azu Tiwaline à l’œuvre magistrale d’Alain Damasio, la Horde du contrevent (clique ICI, je te prie, ma p’tite patate), voici donc que je vais te toucher deux ou trois mots au sujet du mélange – improbable pour beaucoup – de sensations provoquées par l’association du groupe de metal Slipknot, avec la saga de la Compagnie noire, de Glenn Cook.

J’avais simplement commencé la lecture des Annales de la compagnie noire à l’époque de la sortie du dernier album de Slipknot, We are not your kind, un groupe de metal que je suis depuis leurs débuts, fasciné par les univers sombres et différents de chaque opus. C’est donc avec ce son dans les oreilles que j’ai démarré la lecture de cette formidable saga, pleine d’êtres tourmentés, qu’ils soient virtuellement immortels comme la Dame, ou simplement humains, comme Toubib et les autres membres historiques de la compagnie. Depuis lors, c’est mon petit rituel lorsque j’attaque un nouveau tome de la saga, je me passer du Slipknot pour rendre les scènes de combat plus rythmées.

En fait, j’associe le groupe aux terrifiants Asservis, d’anciens sorciers que le Dominateur parvint à corrompre. La Dame fera de même avec de nouveaux et puissants ennemis. Bien que plusieurs d’entre eux soient tués durant la saga, les éliminer de manière définitive demanderai probablement une bombe à hydrogène lancée directement sur chacun d’eux. La puissance narrative entourant ces êtres exceptionnels fait que le moindre déchaînement de leur fureur se marie fort bien avec la brutalité d’une chanson comme Solway firth, associée pour ma part au Boiteux.

Pour info, l’univers de la Compagnie noire fut jadis adapté en jeu de rôle, dans une série de one-shot très complets, sous licence d20, par Green ronin publishing.

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