The Queen’s gambit, un bon feel-good!

Coucou mes p’tites patates tacticiennes! Ah oui je sais, après un article lundi sur un jeu de société totalement dans la hype, voici donc une série dont parlent tous les sérivores! Mais que faire d’autre, après avoir visionné les sept épisodes de the Queen’s gambit, que de vouloir partager cette bonne énergie positive, proposée par les réalisateurs Scott Frank et Allan Scott, d’après une œuvre de Walter Tevis.

Alors oui, comme très souvent, Anya Taylor-Joy magnétise toute l’attention, avec ce regard d’une rare intensité. Je l’avais découverte dans the Witch, puis Split, et récemment dans New mutants, clairement c’est une actrice sur laquelle compter. Mais comme toujours, sa mise en lumière est possible uniquement grâce au reste d’un casting servant intelligemment la réplique, créant d’incroyables scènes, mille fois vues dans nos séries, et pourtant tellement percutantes, lorsqu’elles sont jouées finement, comme c’est le cas ici. Car oui, pour ma part je ne vais pas sûrement pas crier au chef-d’œuvre avec cette adaptation du roman éponyme. The Queen’s gambit fait le job, c’est une feel-good série car toute l’intrigue est totalement prévisible, nous emmenant en terrain connu à travers l’enfance, puis l’adolescence de cette orpheline aux problèmes ordinaires, possédant un don/malédiction unique pour le jeu d’échecs. Les montagnes russes émotionnelles nous entraînent régulièrement vers des pics, nous faisant crier à l’injustice, puis verser des larmes, pour finalement nous faire savourer par petites bouchées cette histoire à la Bobby Fischer.

The Queen’s gambit est donc une jolie petite histoire toute simple, pleine de positivité, d’amitiés et de défis personnels, c’est archi-classique, mais clairement, c’est vraiment très bon! Et j’ajoute que si le scénario est bien léger, la reconstitution des années 60 est vraiment chouette, la musique est pas mal également, et la réalisation impeccable. C’est une série clairement incontournable, à découvrir sur Netflix!