Coucou mes p’tites patates de l’espace! Ah ça, j’en aurai griffonnée des pages d’idées pour des prototypes! Certains découlent de vieilles idées, d’autres de toutes récentes, et enfin celle-ci, Orbital, est la suite d’un autre projet un peu trop proche de plusieurs très bons jeux qui furent commercialisés ces dernières années. J’ai eu brièvement peur en voyant la boîte de Junk orbit, mais ce n’est pas du tout la même catégorie de jeux, ouf!
Dans Orbital donc, nous allons incarner des factions cantonnées dans des stations orbitales, autour d’une planète quelconque, dotée de deux lunes – les extensions modifieront cet environnement cosmique, et bien entendu ajouteront des chatons et des vikings – et de pas mal de débris spatiaux regroupés en régions aux ressources variées et surtout, limités. Les factions ont des points forts et devront compléter des objectifs secrets, concluant en cours de route d’éventuelles alliances. En sachant qu’à la fin, comme le dit un grand sage, il ne peut en rester qu’un.
Les stations sont en orbite géosynchrone tandis que les régions de débris tournent, devenant plus ou moins accessibles aux navettes et drones de chacun.e – Oui, ce sera comme un plateau à fromages – et il faudra également compter sur d’anciens systèmes défensifs rendant toute collecte de ressource compliqué. Une des lunes proposera un marché où convertir ses ressources, l’autre cèdera des technologies contre beaucoup de ressources, elles compteront comme des objectifs à prendre, lourdement défendues, et dont la fonction sera de réguler l’accès des factions aux ressources.
Voici donc les grandes lignes pour Orbital, un projet en fin de file d’attente, et sur lequel je reviendrai pas avant plusieurs semaines, les priorités étant S.I.A.R pour le jeu de rôles, et Infinité temporelle pour le reste.
Mais comment tu fais pour te relire 😉 !
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Mais c’est clair non? Non? 🙂
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Là j’avoue qu’il faut reconnaître la véracité de cette légende urbaine : tu écris super mal.
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comme ça à froid, je pressens les possibilités de faire quelques enfoirades.
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je plussoie à ce pressentiment.
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dépêche-toi de le sortir, à mon avis, le thème va être prit d’assaut.
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Depuis Jules Verne, les habitants de la lune n’ont vraiment pas la côte!
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