
Coucou mes p’tites patates en kilt! En 1988 sortait le second album des écossais the Silencers, menés par Jimmy O’Neill et proposant un rock léger et ultra-mélodique, que je découvrais sur Canal +, dans la version télé du Top 50, présentée par Marc – salut les p’tits clous – Toesca. Plutôt dans mon époque heavy metal avec le poster de Somewhere in time sur le mur, je n’en écoutais pas moins du U2 ou du Midnight oil (article ICI), et l’émission proposait alors plus de diversité musicale, avec parfois des choses surprenantes. J’ai rapidement eu ma k7 de a blues for buddha, découvrant tout un univers rythmique bien sympathique, et plus étoffé que ne le laissait supposer le hit the real Mac Coy, qui tournait en boucle alors. Avec même du blues pour le titre éponyme.
Je reviens souvent sur cette époque des eighties, sans toutefois aller jusqu’au bête « c’était mieux avant« , je découvre et savoure constamment des choses contemporaines, comme par exemple cet album de Phoebe Bridgers, ICI. Mais c’étaient mes années collège, une période durant laquelle j’ai découvert le sport et le jeu de rôle, me sociabilisant beaucoup et durant laquelle la musique et ses nombreux styles m’influencèrent énormément. Je continuerai donc à vous parler de vieilleries indémodables, et parlant au plus grand nombre, avec ici pour cet album des Silencers, une très belle note de positivité.
Des Silencers à Phoebe Bridgers, quel joli pont ! Je prends tout ce qui se trouve aux deux bouts et tout ce qu’il y a entre les deux. 😀
J’aimeAimé par 1 personne
Je ne connaissais pas du tout ce groupe, et j’adore le titre que tu présentes!
J’aimeJ’aime