Mechanica, les robots trop mignons!

Coucou mes p’tites patates robotisées! J’ai récemment découvert le très bon éditeur Resonym (le lien vers le site ICI) grâce au financement participatif de Surrealist dinner party, un jeu de cartes centré autour d’un repas entre artistes du courant surréaliste. Voilà. Et donc depuis lors, je me suis penché sur leur production, pour découvrir de probables petites pépites, comme ce Mechanica, aux couleurs détonantes et son matériel surprenant.

C’est un jeu de – attention, il y a plein de monde – Mary Flanagan, Emma Hobday, Max Seidman, Cisco Garrido, Mariana Sosa, Spring Yu et Ann-Sophie De Steur! Nous allons devoir gérer des usines de robots, que bien entendu il nous faudra améliorer en achetant des tuiles à disposer sur le plateau individuel, tout en optimisant le parcours des robots que nous devrons produire, jusqu’à leur vente. On rajoute quelques petits objectifs publics, et voici donc Mechanica! Simple, fluide et rapide, il se distingue par son magnifique matériel et sa charte graphique surprenante.

Expérience de jeu très agréable, l’idée de faire de la boîte un plateau n’est pas nouvelle, et se redéveloppe ces derniers temps. Ici dans Mechanica, elle est exploitée à fonds et nous voyons disparaître les tuiles n’ayant pu être achetées dans un puits sans fond… Bon ok, dans un petit compartiment juste en-dessous. Trois types de robots à produire, de la belle tuile de prime abord difficile à lire, mais s’avérant finalement très simple, comme l’ensemble du jeu, dont les règles sont assimilables en une lecture rapide.

J’aime vraiment découvrir de tels jeux, pas forcément super originaux lorsque l’on pratique régulièrement le loisir, mais incitant néanmoins à jouer, et surtout à y revenir, grâce à un équilibrage précis de la mécanique, associé comme ici à un très bel univers graphique. Avec le temps, j’en viens à plus volontiers sortir régulièrement des jeux comme Mechanica, offrant une expérience ludique mémorable.