
Coucou mes p’tites patates bretonnes! Vu le titre, vous supposez bien, oui il s’agit d’un autre jeu de chez Ystari, dont l’équipe créative aime bien glisser ces deux lettres dans les titres de tous ses jeux. Ys donc, de Cyril Demaegd et Arnaud Demaegd, un bon petit jeu à l’allemande, à la base auto-édité par son auteur, nous faisant jouer les rôles de princes et princesses envoyant leurs courtiers en pierres précieuses, dans la légendaire cité bretonne d’Ys.
C’est un simple jeu de mises cachées et de suprématies, afin d’obtenir des pierres se transformant ensuite en or, permettant de remporter la partie. Le plateau représente la cité et ses quartiers, chacun de ces derniers offrant des bonus différents.
Très classique – trop, vu la quantité de jeux similaires paru depuis – Ys et son extension Ys+, permettant de jouer à 5, offrent malgré tout une expérience agréable, sur un plateau toujours un peu trop coloré, et surtout, vraiment fluide, une partie pouvant se jouer en une quarantaine de minutes. Petit point fort, la version à deux est vraiment très bien, c’est l’une des premières que j’ai pu essayer sur un jeu non prévu pour cette configuration, et il est donc possible que les duo prennent du plaisir à ce jeu.

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